Action #StopEVARS : Ils ne veulent pas qu’on sache !? ENREGISTRONS…!!!Temps de lecture estimé : 2 minutes

#StopEVARS

Objet de polémiques, le nouveau programme d’éducation affective et sexuelle a été voté

(Source : https://rmc.bfmtv.com/actualites/societe/education/info-rmc-le-nouveau-programme-d-education-affective-et-sexuelle-a-ete-vote_AN-202501300586.html)

Ah… merde… On peut plus rien faire, alors ? Et en plus, finalement, ils ont décidé de ne pas informer les parents des dates des séances. Ben oui, sinon c’était trop fastoche, il suffisait que les enfants soient malades ce jour là. Oulala ! Mais comment on va faire alors ?

C’est sûr, que la petite “résistance de salon”, les pétitions, les courriers aux ministres qui partent directement à la poubelle, etc. c’est mignon mais ils s’en tapent. Mais alors… complètement ! Ça les fait marrer… à un point que vous n’imaginez même pas… Ça les arrange, même. Ça entretien l’illusion qu’on serait en démocratie.

Ils pensent que nous sommes impuissants ? Ah bon…

Eh Oh ! Les parents ! Et si on tapait du poing sur la table ?!


Il ne veulent rien nous dire… On saura TOUT ! Et on va le faire savoir…

Ils continuent à nous emmerder avec leur #EVARS ! Qu’à cela ne tienne. PRENONS NOS RESPONSABILITÉS !

Pourquoi tout le monde nous prend pour des fous et personne ne nous croit pas quand on en parle parce qu’on a pas de preuves.

Il faut des preuves ? Obtenons des preuves…

INVERSONS LE RAPPORT DE FORCE ! À la guerre comme à la guerre. Enregistrons partout, massivement. Dans les écoles, les collèges, les lycées. Partout ! Partout où il y aura des parents prêts à équiper leurs enfants de micros espions, partout où il y aura des ados perspicaces et courageux qui sauront mettre en marche leur téléphone discrètement au moment opportun.

Certains diront “oui mais ça n’évitera pas que des enfants soient traumatisés”. C’est vrai, mais il le seront de toute façon si on ne fait rien. Et puis “être acteur contribue à réduire l’impact d’un traumatisme : le pire vécu est le sentiment d’impuissance – honte, culpabilité…” (https://x.com/MadameKyoK/status/1885347500782940441).

D’autre part, ça pourrait bien en éviter quelques uns de traumatismes… Ils se croient tout permis parce que nous n’avons pas accès aux classes. Il est grand temps de faire cesser l’arrogance de certains. Si ceux qui font la promotion de #EVARS n’ont rien à se reprocher, ils ne verront aucun inconvénient à ce qu’on enregistre les séances… Et s’ils se permettent de raconter n’importe quoi en classe et de bafouer les droits des enfants et des parents, on diffuse massivement et on dépose des plaintes.

D’autres rétorqueront que ça ne sert à rien car la “Justice” est aux ordres du pouvoir. C’est possible… Mais le vent tourne et le temps où l’on jugera les juges qui n’ont pas jugé en toute indépendance et impartialité n’est peut-être pas si lointain. N’avez-vous pas remarqué qu’on observe pas mal de retournements de vestes depuis quelque temps ? Celui de Zuckerberg est assez vertigineux : https://www.nexus.fr/actualite/news/zuckerberg-fin-de-la-censure/

Donc oui, il va falloir taper du poing sur la table. Le temps de la véritable justice n’adviendra que si on y travaille activement. Qui c’est qui décide si au collège on doit apprendre que si la sodomie fait mal il faut mettre plus de lubrifiant ? C’est eux ou c’est nous ? Merde à la fin !!!

Source : https://echecscolere.fr/le-ministere-de-la-verite-pris-la-main-dans-le-sac/

L’Éducation nationale est un service public. Le service c’est eux, le public c’est nous. Ils sont là pour servir le public pas pour nous imposer leurs idéologies. C’est l’instruction qui est obligatoire pas le lavage de cerveau. À quel moment on leur a dit : “c’est bon les gars, prenez nos gosses et faites en ce que vous voulez”. On a dû mal se comprendre. Il va falloir remettre les pendules à l’heure. Et vite !!!

Concrètement, on met ça dans le cartable des nos enfants, tous les jours, on enregistre et, le moment venu, on diffuse et on dépose des plaintes. Massivement. Fin de l’histoire !

Note juridique :

L’enregistrement à leur insu de propos tenus par des agents publics est-il forcément un délit ?

NON : dans la mesure où les propos enregistrés à l’insu des agents publics entrent dans le cadre le cadre de la seule activité professionnelle des intéressés et ne sont pas de nature à porter atteinte à l’intimité de leur vie privée.

https://consultation.avocat.fr/blog/andre-icard/article-19445-l-enregistrement-a-leur-insu-de-propos-tenus-par-des-agents-publics-est-il-forcement-un-delit.html