Campagne de “Vaccination” anti-HPV, collégien hospitalisé à Nantes : Que nous cachent-ils ?Temps de lecture estimé : 2 minutes

Vendredi 20 octobre dernier, plusieurs articles de presse¹ nous informaient qu’un adolescent nantais avait été victime d’un malaise après une vaccination contre le papillomavirus le 19 octobre et que la campagne HPV était suspendue en Loire-Atlantique.

L’information proviendrait d’un communiqué de l’ARS qui est introuvable sur son site web à la date où nous publions cet article : https://www.pays-de-la-loire.ars.sante.fr/recherche-globale?type_ct%5Bars_communiques_de_presse%5D=ars_communiques_de_presse&search_ars=communiqu%C3%A9&sort_by=date_desc

Le ministre de la Santé ne semble pas s’être exprimé et il n’y a pas de communiqué de presse à ce sujet sur le site du ministère : https://sante.gouv.fr/actualites/presse/communiques-de-presse/

Il n’y a pas eu de communication non plus de la part du ministre de l’Éducation nationale : https://www.education.gouv.fr/recherche/tag/presse?keywords=communiqu%C3%A9

À ce jour (29 octobre 2023), soit dix jours après l’hospitalisation de cet enfant, il n’y a eu aucune nouvelle communication à son sujet. Cela contraste étonnamment avec le battage médiatique qui a été fait depuis plusieurs mois concernant cette campagne de “vaccination” anti-HPV.

Comment se fait-il que les “autorités” n’aient pas cherché à rassurer la population sur l’état de santé de ce jeune adolescent ?

Nous comprenons bien que s’il arrivait malheur à cet enfant cela remettrait en cause l’opportunité de cette campagne déjà très controversée. Si par dessus le marché qui que ce soit cherchait à étouffer l’affaire ce serait un scandale d’état. En effet, les Parents en Colère alertent depuis le “coup de Jarnac”² d’Emmanuel Macron, le 28 février 2023, sur le bien-fondé de cette campagne. Depuis la rentrée, nous et d’autres collectifs alertons sur le fait que les parents ne sont pas informés par la “documentation” officielle qu’ils reçoivent des effets secondaires potentiellement graves³ dont les professionnels de santé sont pourtant informés par l’ANSM⁴.

En tant que simples citoyens et parents inquiets nous serions biens désolés si cet évènement venait à compromettre certains intérêts financiers mais, puisque “nous sommes en démocratie” (c’est ce qu’on nous apprend à l’école !), …

Mais qu’attend donc la presse pour nous informer ? Où sont donc passés les “fact-checkers” ?

1 : par exemple celui de France 3 Pays de la Loire : https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/nantes/un-adolescent-nantais-victime-d-un-malaise-apres-une-vaccination-contre-le-papillomavirus-la-campagne-hpv-suspendue-en-loire-atlantique-2860178.html

2 : https://twitter.com/AssociationPEC/status/1630949373143048193 – https://www.parentsencolere.fr/2023/07/07/papillomavirus-gardasil-cancers-du-col-de-luterus/

3 : https://ansm.sante.fr/uploads/2023/09/06/20230906-hpv-fiche-vaccin.pdf

4: Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (https://ansm.sante.fr/)